Le Mouvement écologique du Haut-Richelieu invite les candidats et candidates du comté de Saint-Jean à se prononcer sur les enjeux environnementaux

Le Mouvement écologique du Haut-Richelieu (MEHR) invite les aspirants et aspirantes au poste de députés des comtés fédéraux de Saint-Jean et de Brome-Missisquoi à faire connaître leur position concernant des enjeux environnementaux importants pour notre comté, pour le Québec et le Canada. Vous trouverez leur réponse dans les hyperliens au bas de l'article:

Conservation des milieux naturels:
Comment votre parti s’y prendrait-il pour atteindre les objectifs d’Aichi sur la biodiversité auxquels le Canada a adhéré en 2010?

  • Ces objectifs visent, entre autres, à protéger 17% des milieux terrestres d’ici 2020;
  • La Montérégie accuse un retard important, puisque moins de 4% du territoire est protégé.


Corridor écologique de la rivière Richelieu
Le Mouvement écologique travaille depuis plusieurs années à l’octroi d’un statut de protection pour la rivière Richelieu ou une portion de celle-ci. De quelle façon votre parti s’y prendrait-il pour mieux protéger la rivière et ses écosystèmes aquatiques et riverains?

  • La rivière Richelieu est le deuxième habitat le plus fréquenté par les populations d’oies des neiges au Québec, après le site de Baie-du-Febvre, durant la migration printanière;
  • La rivière abrite une espèce aviaire menacée, le petit blongios, de même qu’une espèce de poisson menacée, le chevalier cuivré;
  • Des citoyens riverains réclament la construction d’un ouvrage régulateur sur la rivière pour contrer l’effet des inondations
    Campagne fédérale 2019 2
    printanières. Outre sa capacité incertaine à contrôler les crues, un tel ouvrage aurait des effets écologiques néfastes sur les habitats de la rivière


Lutte aux changements climatiques

Que propose votre parti pour atteindre la cible de l’Accord de Paris sur le climat, qui consiste à réduire de 30% les émissions de gaz à effet de serre (GES), par rapport à 2005, d’ici 2030?

  • Malgré l’existence d’un réseau de transport en commun, le nombre de véhicules personnels sur la route augmente plus rapidement que la population;
  • Malgré des progrès dans l’électrification des véhicules, le secteur des transports demeure le principal émetteur de GES au Québec;
  • Sur le plan de l’aménagement du territoire, l’étalement urbain se poursuit malgré les lois et règlements qui interdisent le développement en territoire agricole, ce qui accroît la dépendance envers les véhicules personnels

 

Les réponses de André-Philippe Chenail
Candidat - Circonscription de St-Jean
Parti Vert du Canada

Les réponses de Sylvie Jetté
Candidate - Circonscription de Brome-Missisquoi
NPD